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30 janvier 2018

Balance les planches pourries de ta vie

 

BALANCE TA PUTE

Pour répondre au mouvement « Balance Ton Porc » ou  pour ces  néo-féministes  elle exprime la haine de tous les hommes dont je ne partage pas l’expression. Je trouve que ces femmes ont tendance à généraliser de manière agressive sur toute la communauté masculine. Défendons plutôt la galanterie, la drague et la liberté d'importuner. Par compte si elle dise non on lâche l’affaire. Les femmes sont aujourd’hui assez grande pour dire aussi ce qu'elle désir ! Soyons responsables de nous-même. J’ai été très peu touché par l'emballement médiatique autour de l'affaire WEINSTEIN.  Lorsque je vois des femmes battues à mort et qu'on n'en parle pas beaucoup, c'est ça qui me choque vraiment. On va parler des actrices hollywoodiennes comme des victimes, oui, mais alors parlons de toutes les victimes. Mais aussi des héroïnes. Ces sportives qui réussissent des exploits et qui n'ont pas une grande couverture médiatique. Le pendant de Balance Ton Porc, c’est Balance Ta Pute. Car il n’y a pas de Porc sans Pute. C’est dit un peu brutalement, puisque beaucoup de femmes se font harceler sans être en mini-jupe, tee-shirt mouillé et hauts talons. Il suffit d’être sexy et tout part en sucette assez rapidement, c’est un fait. Mais voilà, l’agression permanente que les femmes infligent aux hommes par leur art de la séduction ne se voit pas, ne se dit pas : elle n’est pas caractérisée. Draguer sans harceler, toute la finesse est là, et pour cela, rien ne vaut la connaissance des rapports H/F ! Une femme sexy ne tolérera pas et on la comprend un pelotage dans le métro par un SDF, mais elle acceptera de se faire draguer ou elle draguera elle-même un homme de rang social supérieur. Tout est alors une question de gratification : la valeur du geste dépend du rang social de son « donateur ». La plupart des hommes puissants socialement n’ont même pas à se servir du langage pour matérialiser leur désir, le rendre acceptable socialement, et obtenir satisfaction. Ils prennent, car la femme est attirée culturellement et sexuellement par les hommes de rang social supérieur, garantie de confort et de sécurité matérielle plus qu’affective pour elle et sa progéniture éventuelle. Pour résumer, un homme sans culture possédant moins de 500 mots de vocabulaire. Ce trouvant sans position sociale dominante en sera réduit à siffler ou harceler les femmes qui lui plaisent et qui lui échappent dans la rue, sinon à comprimer son désir et à regarder ailleurs. Il peut avoir une femme à la maison et être frustré sexuellement, ou être allumé par une femme qui trouble son attention. Il n’y peut rien, c’est le programme de la Vie, sans quoi nous ne serions pas ici pour en parler. Qu’est-ce qu’un « Porc » ? C’est un homme qui ne peut pas retenir son désir devant une femme qu’il trouve excitante. Alors il profère des mots grossiers, la siffle, lui met la main au cul, lui pelote les seins... c’est l’instinct du néandertalien. Tous les hommes ont ressenti ce risque de glissade un jour.

 

GLAMOUR 01

 Heureusement, la plupart ne cèdent pas à l’instinct du néandertalien. Pour cela, il y a la retenue sociale fondée sur la morale et le langage. Car ceux qui expriment leur désir par ces gestes déplacés ou expressions indélicates sont ceux qui ne savent pas utiliser le langage. Or avec les femmes, la patience est de mise. Il y a donc deux sortes d’hommes : ceux qui savent attendre et les Porcs. La différence entre les deux, c’est la culture. Celui qui a suffisamment de culture peut apprivoiser la femelle – on appelle ça la drague – et ensuite lui faire ce qu’il veut, dans les limites de la loi et de la tolérance de la partenaire de jeux. C’est le pack drague-accouplement. Le viol, c’est quand on zappe la phase 1, et c’est un crime, donc on oublie. Dans l’affaire Balance Ton Porc, on ne parle pas de viol mais de harcèlement sexuel au bureau ou dans la rue. Le Porc, c’est celui qui ne dispose pas les moyens culturels (tchatche, codes sociaux, gestuelle) d’apprivoiser la femelle convoitée. Faux, disent les femmes harcelées par un PDG. Exact. Dans ce cas, la position sociale joue. Si le Porc jouit d’un rang social supérieur, alors les possibilités de harcèlement « autorisé » sont multipliées. Il n’y a pas impunité mais presque car nous sommes dans une société hiérarchisée, où ceux qui sont en haut disposent généralement (force de travail, réservoir sexuel) de ceux qui sont en bas. Les victimes ne peuvent pas aisément résister. Mais il est toujours possible de résister. Pour cela, il faut esquiver, ne jamais montrer ses fesses au prédateur. Cela suppose quelques torsions comportementales. Ce n’est pas agréable, on en convient, mais la vie est une jungle. Mieux vaut affronter un patron cochon qu’un tigre à dents de sabre affamé. Relativisons les choses. Il n’y a pas mort de femme. Une solution pratique pour femmes potentiellement harcelée : le patron homo. Mais cela ne résout pas le problème de fond. De plus, cela ne résout pas le cas de la patronne homosexuelle ! 

 

PINUP 04

J'veux du cuir .Alain Souchon

Pour illustrer mes propos je vais vous raconter un évènement que j’ai vécu au début de ma vie professionnelle pour mieux comprendre le contexte vous pouvez lire mon message du 21 Novembre 2017. Nous allons plonger 40 ans en arrière, je venais d’avoir 19 ans je travaillais dans la distribution une semaine sur deux nous étions du matin ou de l’après-midi. La journée était entrecoupée d’une pause-déjeuner, je me rendais donc à la  cafétéria. Au départ quand je fus embauché comme manutentionnaire je mangeais seul à proximité de la fenêtre et je regardais les avions en finale à Orly dans le lointain. Quelques mois plus tard quand je fus nommé chef de rayon la situation changeât radicalement toutes les caissières voulaient me tenir compagnie pendant mon repas, je ne draguais pas, c’était les femmes qui me draguaient je n’avais que l’embarra du choix, souvent elles s’arrangeaient pour que mes yeux se perdent dans leurs décolletés ou me fasse loucher dans des croisements de jambes. Le tout digne de la scène du film "Basic instinct" avec Sharon Stone en fait une arme de déroute et de séduction ! Sans me venter à l’époque j’étais un beau brun avec un physique harmonieux et je pense que mon salaire et ma position hiérarchique les intéressaient. Pour finir une autre aventure cette fois ci vécue dans les transports en commun quelques années plus tard en 1983. Un matin en prenant mon bus à la porte d’Italie en direction de mon travail le centre sud de THOMSON-CSF à Malakoff ou j’exerçais le métier de technicien en électronique. Une jolie Parisienne chique et sexy monte dans le bus, elle est vêtue d’une minijupe et d’un  imperméable long. Elle s’assoit et un  pue-la-sueur au physique disgracieux s’installe en face d’elle. Je suis debout et j’observe la scène. La fille est pas mal foutue. J’étais prêt à prendre du temps pour faire sa connaissance. Elle croise les jambes pour éviter que des yeux visualisent sa petite culotte, le blaireau assis en face à des yeux comme hypnotisés par les jambes de rêve de la belle en cuisse. Passant le boulevard Kellermann la starlette de prisunic se rend compte que le mec assis en face d’elle depuis notre départ de la place d’Italie n’arrête pas de mater ses cuisses. A l’arrêt de la poterne des peupliers elle se rend compte que le clampin frustré et introverti assis en face d’elle n’arrête pas de la déshabiller des yeux. Elle le regarde méchamment avec un regard méprisant et referme les deux parties de son long imperméable, l’exposition était terminée. Le mec descend à l’arrêt cité universitaire avec un regard sournois en trainant avec lui toute sa misère sexuelle. Le lendemain matin la jolie passagère du PC est là avec une tenue vestimentaire identique à la veille. Ma tenue est composée d’un JEANS LEVI’S 501, un pull bleu, mon blouson navigant en cuir et mon foulard en soie d’aviateur de couleur blanche. Elle s’assoit et je m’installe face à elle, travers le stade CHARLETY à la porte de GENTILLY nos regards se croisent je suis accroché radar spontanément nous échangeons un sourire et passant le parc MONTSOURIS ses jolies jambes gainées par des collants de couleur chair sont visible. Travers l’institut mutualiste MONTSOURIS nous engageons la conversation. Nous descendons à la porte d’Orléans je l’invite à prendre un café au « PARIS ORLEANS » la jolie blondinette se nomme Hélène et travaille comme secrétaire chez SCHLUMBERGER à MONTROUGE. Nous avons échangé nos N° de téléphone fixe à l’époque les cellulaires n’existaient pas. Le samedi suivant je l’emmenais faire son baptême de l’air et le soir chez elle à IVRY-SUR-SEINE nous avons fait l’amour tout le restant du Week-end. A l’époque la liberté sexuelle existait et nous avons vécu cette aventure quelques semaines avant que nos routes se séparent. Hélène je donnerais tout pour revivre cette époque où nous étions des jeunes adultes libres et consentant. Pour illustrer ce message voici la chanson d’Alain Souchon - Sous les jupes des filles qui résume très bien ce message. Demain mercredi 31 janvier 2018 j’ai 59 ans.

Alain Souchon - Sous les jupes des filles (Clip officiel)

 

 

 

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