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F1HDE
8 août 2019

Peut être une réponse à la tragique catastrophe nucléaire de TCHERNOBYL le 26-4-1986

430ème message sur le blog F1HDE. F1HDE est mon indicatif radioamateur CALL SIGN en langue Anglaise. J’ai obtenu cet indicatif personnel en Février 1983. Je faisais de la radio depuis septembre 1975, je possédais déjà un certificat d’opérateur radio du service aéronautique et maritime. En avril de la même année je rentrais chez THOMSON-CSF et en Octobre je m’inscrivais à l’Aéro-club des Aiglons d’Ivry Vitry pour entreprendre ma formation de pilote privé avion. Pour des raisons de santé je venais d’arrêter ma vie de militaire en situation d’active vécue en pleine guerre froide depuis les Forces Françaises en Allemagne. A l’époque à la fin des années 70 sur tout le spectre ondes courtes nous subissions sans-cesse des brouillages qu’on désignait entre opérateur radio « la mitraillette à caviar ». Dans ce message je vais vous expliquer à quoi servait exactement « la mitraillette à caviar ». Etant actuellement très occupés par des projets chronophages, je n’aurais malheureusement pas le temps de m’exprimer sur le blog « F1HDE » à partir de ce samedi 10 août 2019. Néanmoins comme d’habitude je répondrais aux messages postés sur « F1HDE » CANAL BLOG.

73/ERIC/F1HDE

 

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La mitraillette à caviar qui perturbait le spectre radioélectrique de 1976 à 1989

Apres HAARP voilà un système qui à perturbé pendant 13 ans toutes les transmissions sur ondes courtes. Le pic-vert russe, surnommé aussi « moulinette à caviar » est un signal radioélectrique célèbre de l'URSS. Il était reçu sur les ondes courtes dans le monde entier de juillet 1976 à décembre 1989. Son bruit ressemblait à un claquement sec et répétitif à une fréquence de 10 Hz ce qui lui a valu le surnom de « pic vert ». Les sauts de fréquence aléatoires perturbaient gravement la réception des stations de radiodiffusion, le service radioamateur et les liaisons radio de service, si bien qu'il a généré des milliers de plaintes émanant du monde entier. Depuis longtemps on pensait qu'il s'agissait d'un RADAR TRANS-HORIZON. Cette hypothèse a été confirmée publiquement au moment de la chute de l'Union soviétique et le système est maintenant connu sous le nom de DUGA. Il faisait partie du dispositif soviétique de veille lointaine des ANTIMISSILES BALISTIQUES. Si trois radars DUGA ont bien été construits, le premier n'est pas numéroté, et les deuxième et troisième sont numérotés respectivement 1 et 2. Le prototype, dénommé "DUGA" (sans suffixe numérique et au nom de code 5H77) a été implanté dès 1970; il est composé d'un transmetteur et d'un émetteur, séparés d'une distance de 30 kilomètres, près des villages de LUCH et KAYNIVKA. Le deuxième radar, le plus important, dénommé "DUGA-1" (nom de code 5H32-Ouest), a été implanté durant les années 70; il est composé de deux transmetteurs installés à LIUBECH, et de deux récepteurs installés à TCHERNOBYL-2. C'est le plus connu des trois, en raison de l'implantation de ses récepteurs dans la zone de TCHERNOBYL. Le troisième et dernier radar, dénommé "DUGA-2", a été construit en même temps que le DUGA-1. Ses antennes sont situées à KOMSOMOLSK-SUR-L’AMOUR.

 

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Au départ, l’unité émettrice du radar, travaille sur des fréquences comprises entre 3,26 et 17,54 MHz mais la frustration avec ce Pic-vert russe était profonde, il interférait régulièrement non seulement avec les communications commerciales et amateurs, mais également avec les stations de radiodiffusion internationales. Suite à de très nombreuses plaintes, le Ministère de l’Industrie de la Radio de l’URSS a envoyé au Conseil des ministres, des propositions afin de trouver des moyens techniques pour réduire au minimum les brouillages causés aux services aéronautiques, maritimes et aux services de secours. Dans un accès de techno-patriotisme, certains chercheurs radioamateurs ont alors essayés de nettoyer les ondes du Pic-vert Russe par l’envoi d’un signal de brouillage. Leur effort collectif a été surnommé le « Russian Woodpecker Hunting Club ». Il a fait partie des Forces de défense antimissile et de l’espace (PRO) et a été créé dans le seul but de fournir une alerte précoce à des attaques de missiles nucléaires contre l’Union soviétique, dans les deux à trois minutes du lancement du missile (le temps de vol des missiles entre les États-Unis et l’URSS est de 25 à 30 minutes). Le signal émit vers les USA partait de l’émetteur de DUGA-1. En faisant 3 sauts entre le sol et l’ionosphère, le signal revenait ensuite vers le récepteur par 3 nouveaux sauts. Quand on regarde sur Google l’orientation de l’émetteur et du récepteur DUGA-1, il est clair que la direction perpendiculaire à l’antenne est bien le continent américain en passant au-dessus du pôle nord. L’émetteur de radio à ondes courtes du Radar DUGA-1 diffusait des pulsions puissantes qui se propageaient à travers l’Europe du Nord, le Groenland et l’Amérique du Nord à des milliers de kilomètres et un récepteur sans doute la plus grande antenne radar dans le monde et situé à 60 km du récepteur, récupérait et analysait les informations avec des puissants ordinateurs. Ce radar détectait la création d’effets atmosphériques des échappements en panache d’un lancement massif de missiles.

Qu’est-ce qu’un radar OTH (en anglais : Over-the-horizon) C’est en 1946 que N.I. KABANOV, scientifique et ingénieur russe, propose l’idée d’un radar TRANS-HORIZON. Les ondes radio qui sont une forme de rayonnement électromagnétique se propagent le plus souvent en ligne droite. Cette caractéristique limite leur portée, et donc leur efficacité, à l’horizon-radar dû à la courbure de la Terre. La méthode la plus couramment utilisée avec un radar TRANS-HORIZON pour « voir » au-delà de l’horizon consiste à se servir de la réflexion atmosphérique.
Seules quelques bandes de fréquence situées dans la plage de fréquences de 3 à 30 MHz peuvent être utilisées. Le signal radio, est renvoyé vers le sol par les couches de l’atmosphère lorsque les conditions atmosphériques favorables sont réunies. La fréquence que l’on doit choisir dépend donc des conditions atmosphériques et les systèmes utilisant ce type de propagation doivent suivre en temps réel l’évolution du signal sur les différentes fréquences pour toujours adopter celle qui fonctionne le mieux. C’est ce que connaît tout radioamateur.

 

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La plus grande antenne HF directionnelle dans le monde :

  • L’antenne du radar à « Tchernobyl-2 » OTH fait 150 m de haut et 500 mètres de longueur. La hauteur de la deuxième antenne est de 90 m.
    La construction qui tient toujours debout est un chef-d’œuvre du génie mécanique. Selon une estimation, qui semble fiable, le poids total serait de 14 000 tonnes.
    Ce qui ressemble à un mur à distance est en fait de près un maillage d’acier. Son coût total à l’époque était de l’ordre de 600 millions de roubles.
  • HRS 4/4/1 l’Antenne Dipôle Rideau, est l’une des antennes les plus courantes en HF directionnels en matière de radiodiffusion. De nombreux rideaux de dipôles sont également utilisés dans le site HF-Pori PREIVIIKI. En comparaison, la HRS 4/4 est 4,5 fois plus petit que le HRS 12/6.
  •  Le choix était pour les lignes de transmission entre une ligne d’alimentation ouverte en fil (sauf pour le 963 kHz) ou alors un câble coaxial de 250 mm de diamètre. La puissance était estimée à 10M watts.
  • La construction d’une antenne rideau moderne avec un R.O.S. de 1.5 : 1 (comme celle de DUGA-1) est construite de sorte qu’il n’y a pas de formation d’étincelle dans ses innombrables attaches quand d’énormes puissances d’émission sont utilisées. C’est tout à fait une forme d’art.
  • Pour obtenir des milliers de tonnes de tuyaux pour les structures de soutien, la décision spéciale du Président du Conseil des Ministres de l’URSS, A.N. KOSYGIN, fût nécessaire. Après la fabrication des tuyaux, un autre problème est survenu avec leur revêtement anticorrosion au zinc. L’usine de Tcheliabinsk a carrément refusé d’organiser une
    telle production. Puis le chef adjoint de la Direction générale du Ministère de la Défense de l’URSS, le général K.M. VERTELOV, a organisé lui-même une telle production directement à l’installation de Tchernobyl.
  • Le coût de la consommation d’énergie qui était estimée à environ 30 mégawatts devait dépasser 1 milliards de roubles soviétiques. On pourrait peut-être comprendre la construction d’une telle antenne près de la centrale nucléaire de Tchernobyl !

STATIONS

-        DUGA (prototypes), MYKOLAÏV, 47° 02′ 28″ N, 32° 11′ 57″ E QRA LOCATOR : KN67CA.

 

-        DUGA-1 (ouest), GOMEL/MINSK, 51° 18′ 19″ N, 30° 03′ 57″ E et 51° 38′ 15″ N, 30° 42′ 10″ E QRA LOCATOR : KO51AH et KO51IP.

 

 

-        DUGA-2 (est), KOMSOMOLSK-SUR-L’AMOUR, 50° 53′ 34″ N, 136° 50′ 12″ E et 50° 23′ 07″ N, 137° 19′ 41″ E QRA LOCATOR : PO80KV et PO80PJ.

 

Tchernobyl a-t-il été une vengeance pour le signal Pic-vert russe ?

Je suis tombé sur ce lien lors de l’étude des diverses installations de type HAARP à travers le monde, qui ont tous été précédées par le phénomène du pic-vert Russe dans les années 70 et 80. Chose intéressante, la géante « surface d’acier » [« Steel Yard »] comme l’OTAN l’avait appelée, se trouve à Tchernobyl, en Ukraine. Dans la « zone d’exclusion » du réacteur de Tchernobyl aujourd’hui disparu.

La centrale nucléaire de Tchernobyl a été détruite par un agent étranger! Le Département de l’énergie nucléaire, l’Académie des sciences avec ses instituts de recherche et de conception n’étaient pas prêts pour un tel désastre inattendu. L’holocauste nucléaire de Tchernobyl n’était pas un accident. Les réacteurs nucléaires ont un niveau élevé de fiabilité prouvée par un certain nombre de tests. Les pompes à eau des systèmes de refroidissement primaires et de remplacement n’ont pas pu être simultanément désactivées. L’image du réacteur explosé a été prise trop opportunément par le satellite américain qui a été « accidentellement » sur la bonne orbite au-dessus du 4ème bloc à ce moment même. Les faits et les développements logiquement analysés de la « guerre froide » dans le 50ème spectacle de la catastrophe de Tchernobyl n’ont pas été un accident. Cela a été le sabotage à grande échelle du siècle, ce qui a donné lieu à l’écroulement de la base économique de l’URSS et du système socialiste « soviétique » en général. Les adversaires de l’URSS ont fait une utilisation efficace de la négligence et de l’incompétence du gouvernement dirigé par Gorbatchev ainsi que le manque de contrôle suffisant des zones réglementées.

La catastrophe a commencé lors d’un test de systèmes, le samedi 26 Avril 1986, au réacteur numéro quatre de la centrale de Tchernobyl, qui est près de la ville de Pripiat et dans une proximité avec la frontière administrative de la rivière du Bélarus et du Dniepr. Il y a eu une montée subite du débit de sortie, et quand un arrêt d’urgence a été tenté, un pic plus extrême dans la puissance de sortie s’est produit, ce qui a conduit à une rupture de la cuve du réacteur et à une série d’explosions.

La compréhension générale du Pic-vert varie, mais cela va aussi loin que d’être possiblement un dispositif de contrôle mental, similaire à HAARP.

Le pic-vert pourrait en fait être un émetteur soviétique de contrôle de l’esprit, s’imposant sur la capacité des gens à penser rationnellement et à rester calme.

Le Pic-vert russe est également apparu comme un dispositif de contrôle de la météo soupçonné d’être utilisé par l’U.R.S.S.

DUGA-1 était la base militaire secrète abandonnée de Tchernobyl.

Bâtie pendant la Guerre Froide (1970-1975), cette base était « cachée ». Employant près de 1500 personnes : militaires, scientifiques, techniciens, elle est abandonnée suite à l’explosion du réacteur n°4 de Tchernobyl, situé à quelques kilomètres de là. En réalité cette grande surface métallique est une antenne radar pour détecter les missiles intercontinentaux américains. La base militaire DUGA-1 ou Tchernobyl-2 est un système de détection de missiles intercontinentaux. Laissée à l’abandon suite à l’évacuation de la zone après l’explosion du réacteur 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl, les antennes larges de 210 mètres et de 85 mètres de haut comprenant 300 émetteurs, reste le témoin de l’existence de cette base.

Accidents majeurs - Niveau 7 - samedi 26 Avril 1986

Cela me conforte dans l’idée que la catastrophe nucléaire de Tchernobyl a été provoquée par des services secrets étrangers (Source Wikileaks) ou par cette hypothèse (source l'artiste ukrainien Fiodor Alexandrovitch) selon laquelle cette catastrophe aurait été commanditée par le ministre russe des communications Vassily Chamchine. L'objectif aurait été de cacher aux yeux du pouvoir soviétique le fait que l'antenne radar trans-horizon DUGA-3 surnommée « le PIC-VERT RUSSE » et située à 15 km de la centrale nucléaire (dont il a été le donneur d'ordre et qui a coûté des milliards de roubles) ne fonctionnait pas. En provoquant cette explosion, il masquait l'échec technologique du système DUGA (en faisant passer la catastrophe nucléaire comme cause de cet échec) et échappait à une accusation de « détournement de fonds publics » qui était à l'époque punie de la peine de mort.

Le pic vert russe Arte

Soviet Russia's Top Secret Missile Detection Network

 
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