Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
F1HDE
13 juillet 2019

Militaire un jour, militaire toujours

 

117

Bonjour mes chères lectrices et chers lecteurs. Demain c’est le 14 Juillet 2019, la fête nationale de mon cher pays la France. Le 31 janvier 1959 j’ai fêté mes 60 ans. Comme vous savez dans la vie mes passions sont les radiofréquences (souvent abrégé en RF) désignant les ondes radio dont le spectre est situé entre 3 kHz et 300 GHz, ce qui inclut les fréquences utilisées par différents moyens de radiocommunication (militaire-aéronautique-maritime) cela depuis 44 ans, ce long chemin m’a amené de l’intérêt à l’expertise. Depuis 2002 je fais également de l’informatique et maitrise de nombreuses applications connectées comme l’APRS, ECHOLINK (radioamateur), l’AIS (maritime) et l’ADS-B (aéronautique). Je pratique le pilotage d’avions légers depuis 36 ans et je travaille dans le groupe THALES (anciennement THOMSON-CSF) depuis 1983. A l’heure du bilan je ne suis pas mécontent de mon parcours.

 

AVEC LE PASSE, ENRICHIR LE PRESENT, IMAGINER L’AVENIR

 

118

NOUS SOMMES LA VOIX, LES YEUX, LES OREILLES DE NOS ARMEES

Premiers sur le terrain, derniers à le quitter, nous sommes indispensables. Nous en avons conscience, ce n’est pas de l’orgueil, mais un aliment à notre amour du travail bien fait. Discrets certes, par nature et par devoir, mais efficaces et sûrs. Nous sommes prêts, transmetteurs et combattants. De site en site, de point haut en point haut, par-dessus mers, fleuves, montagnes, nous communiquons, nous unissons. Que l’on nous entende FORT ET CLAIR. Nous sommes les Transmissions, l’Armée qui unit les armes.

Pour terminer ce message transmis le samedi 13 juillet 2019 voici une définition de la vie d’Olivier de Kersauson avec laquelle j’adhère complètement.

 

119 Olivier-de-Kersauson

« Le jour où je vais disparaître, j'aurai été poli avec la vie car je l'aurai bien aimée et beaucoup respectée. Je n'ai jamais considéré comme chose négligeable l'odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis. Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés. Le passé c'est bien, mais l'exaltation du présent, c'est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l'on voudrait avoir, on ne s'émerveille plus de ce que l'on a. On se plaint de ce que l'on voudrait avoir. Drôle de mentalité ! Se contenter, ce n'est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l'on a, c'est un savoir vivre. »

Souchon-Voulzy - Il roule (Les fleurs du bal)

 
Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Archives
Publicité